Technologie

E-liquide Extrapure pour le plaisir de vapoter

vapotage

Avec une e-cigarette, vous pouvez dire adieux aux cigarettes traditionnelles. Fini les odeurs déplaisantes de cendrier froid sur les cheveux et les vêtements. Fini aussi les dents et les ongles jaunis par la fumée ainsi que les mauvaises haleines qui en résultent, sans parler des substances toxiques produits par le tabac.

Et comme tout dispositif électronique, il est, important de connaitre les composants de cette technologie ainsi que son fonctionnement pour une utilisation optimale et sans risque.

Le e-cig, une alternative contre le tabagisme

Le concept de substituer le tabac traditionnel par « l’air chauffé et aromatisé » a vu le jour, pour la première fois, en 1963. Il a fait l’objet d’un dépôt de brevet en 1965, mais sa commercialisation ne s’est jamais concrétisée. Ce n’est qu’en 2004 que la première cigarette électronique a été mise en vente au public. Une demande de brevet a été déposée en 2005 pour ce dispositif de « cigarette sans fumée à pulvérisation électronique », mais il n’a pas fait long feu. Et en 2009, le chinois David Yunqiang Xiu a conçu et breveté la technologie de « vaporisation par résistance chauffante » appelée « Electronic Nicotine Delivery System». Et finalement, c’est la seule technologie, actuellement, exploitée commercialement pour les cigarettes électroniques.

La cigarette électronique est un inhalateur produisant de la vapeur, aspirée ensuite par le vapoteur. Cette vapeur est issue du liquide à vapoter, appelé e-liquide. Sachant que la cigarette électronique est également appelée vaporette. En 2015, ces termes nouveaux apparaissent dans les dictionnaires français, notamment dans Petit Larousse3 et Petit Robert4. Les utilisateurs de cigarettes électroniques ont baptisé leur action d’inhalation par le terme « vapoter », qui est un mot dérivé de vapeur. En effet, les utilisateurs de la cigarette électroniques précisent la différence entre « fumeurs » et « vapoteurs ». Sachant que le terme « vapoteurs » désigne ceux qui inhalent la vapeur produit par la cigarette électronique, à ne pas confondre avec la fumée produite par combustion du tabac.

Comment fonctionne une cigarette électronique ?

La cigarette électronique est composée de quatre éléments indispensables et interdépendants, dont la batterie, le clearomiseur et la résistance ainsi que le e-liquide.

La batterie constitue le moteur de la vapoteuse. Elle génère l’électricité permettant de faire fonctionner  la cigarette électronique. C’est aussi à travers cette énergie fournie que la résistance chauffe le e-liquide afin de produire la vapeur. La puissance de la batterie est importante pour ne pas avoir à la recharger souvent. Il est ainsi recommandé de bien évaluer votre consommation en tabac pour déterminer la capacité de la batterie qui sera nécessaire afin de vous offrir un confortable moment de vape.

Le clearomiseur permet de contenir le liquide à vapoter. Il est composé du réservoir qui renferme le e-liquide. Il est généralement transparent pour pouvoir vérifier le niveau d’e-liquide qu’il contient. À noter que la qualité d’un clearomiseur influencera grandement la sensation générale du vapotage.

La résistance, quant à elle, se situe également au niveau du clearomiseur. Elle contribue au fonctionnement de la cigarette électronique en chauffant le liquide, à travers un fil résistif et une matière absorbante, et le transforme en vapeur. Sachant que la résistante constitue le cœur du clearomiseur. Sur certains modèles de vaporette, elles sont immergées dans le liquide pour ne pas favoriser les goûts de brulé après inhalation de la vapeur. Sur d’autres, elles sont localisées en haut du réservoir pour avoir une vapeur plus chaude. Dans tous les cas, il est recommandé de changer régulièrement la résistance pour la durabilité de la cigarette électronique.

Le e-liquide, quant à lui, est la substance qui fait la différence en tant que dispositif aérosol. En effet, c’est par la chauffe de ce liquide que la cigarette électronique engendrera de la vapeur. De visu, elle apparaît comme de la fumée produite par une cigarette à base de tabac. Et c’est cet élément qui apportera aux vapoteurs les mêmes sensations que la cigarette classique.

E-liquide Extrapure, une affaire de spécialistes et de goûts

La cigarette électronique, à travers le e-liquide extrapure, est une alternative du sevrage contre le tabac. En effet, elle reproduit parfaitement la sensation de picotement dans la gorge et la bouche, provoquée par la nicotine.

Le e-liquide extrapure est la substance indispensable d’une cigarette électronique. Toute la différence par rapport aux cigarettes traditionnelles réside sur cette matière. Le liquide à vapoter est l’issue d’une composition obtenue par le procédé qui consiste à faire sortir le goût et dupliquer les effets du tabac et le hit en gorge.

Certains utilisateurs adorent concocter eux-mêmes la combinaison des différentes matières de base pour confectionner leurs propres liquides. Cependant, il faut faire très attention, car un mauvais dosage du mélange peut engendrer une sensation de déshydratation à la gorge. Mais rien de tel qu’un e-liquide extrapure pour passer des moments de vape loin de tout désagrément.

Essayer les différentes saveurs

Arômes de tabacs blonds, bruns, arômes de fruits ou de bonbons… Ce sont autant de saveurs qu’on peut ajouter dans le e-liquide. À noter que ces arômes sont fabriqués à partir d’éléments alimentaires pour éviter toute conséquence néfaste sur la santé. Le liquide à vapoter peut aussi contenir ou non de la nicotine, mais à des taux variables qui sont affichés sur le flacon du liquide.

Le e-liquide extrapure se conserve facilement, mais avec précaution. Une fois le flacon ouvert, il faut bien le fermer pour éviter le contact avec l’air. Afin de garder la fraîcheur du e-liquide, il est préférable de le consommer dans le mois d’ouverture de son flacon, tout en l’entreposant dans un endroit sec à température ambiante. En effet, ses ennemis sont la chaleur, la lumière et l’humidité. Comme toute substance consommable, les e-liquides ont leur durée de vie. Ils ont aussi leur date limite d’utilisation optimale au risque de perdre ses saveurs. Et cette information est indiquée sur l’étiquette de leur flacon. Par ailleurs, une fois que le liquide à vapoter mis dans le clearomiseur, il est préférable de le vapoter dans la semaine pour éviter les risques d’oxydation

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